• Mais le bonheur cela se mérite !

    Allez, suivez-moi dans le labyrinthe des trésors pour papilles en effervescence de chez Lenôtre. 
    La première rencontre rosée ? L'élégante religieuse à la fraise : osez lui croquer sa collerette, osez caresser sa guimauve framboise et immerger votre langue dans sa savoureuse crème à la fraise. Vos babines sont en émoi et votre coeur bat la chamade pour s'enflammer telle une cheminée de paquebot : à l'abordage ! Vous mordez sans retenue dans ces 2 tartes aux framboises rouge passion, garnies d'une suave crème d'amande.

     

     

    Clic clac, prise en flagrant délit de ...gourmandise : le mac à gourmand à la framboise surveille et veille. Vêtu façon sixties, en modeux addict, coiffé d'une fleur de meringue, il s'entoure de ses belles framboises pour dissimuler son coeur mascarpone un brin acidulé par le citron vert. Un faux dur, un vrai croustillant !

    Quant à Charlotte aux fraises, elle a souhaité s'ériger en oeuvre d'art, Buren n'a qu'a bien se tenir ! La
    reine, c'est elle : drapée de bavaroise vanille sublimée par la maîtresse en la matière, celle de Bourbon de Madagascar. La belle a su dissimuler sous sa robe, une exquise confiture de fraise se prélassant sur son biscuit aux amandes. Finesse de cette malicieuse !

     

     

     

    Et moi, je vous avoue mon coup de foudre pour cette fabuleuse collection Lenôtre été 2013, d'ailleurs un éclair vient de surgir ! Regardez, pris sur le vif : un éclair griotte et rose pop. 

    Lenôtre tu me fais tourner les papilles, mon manège à moi c'est cela, mon palais est toujours à la fête, quand Lenôtre me concocte des merveilles comme cela !

    Copyright: Caroline Faccioli qui sait d'un regard nous ravir !


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  • A la piscine... Un maillot deux pièces, des courbes de rêves, une mine superbe. 

    Exercices
    Dans le bassin...un peu de nage. En dehors, une douche toute douce : crème de douche douceur Nivea, ensuite une caresse sur les jambes avec l'Huile Sèche Fermeté. Pas de film gras, peau douce.
    Sur le ventre, les hanches, les bras : le Gel Crème Fermeté, pour un good bye cellulite. A faire durant un mois minimum. 
    Pour un teint parfait, même la tête sous un bonnet : BB Cream, crème de teint 6 en 1.
    Et si le corps veut bronzer un peu, Nivea Sun protection 30.

    Et sous la pluie ? Le lait corps sous la douche nourrissant...sans parapluie :)

     

     


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  • Et oui, entre quelles mains les remettre pour les avoir toujours beaux, fermes, et assurer un décolleté galbé ? Une suggestion : la gamme FIGUI + d'Oriental Labs Paris. En effet, cette gamme regorge de petits trésors...secrets ? Non, plutôt sacrés, enfin lisez plutôt.

    La figue de Barbarie et son huile

    Fruit de Nopal au Mexique, la figue de Barbarie était considérée comme le cactus sacré des Aztèques au XIV siècle. De couleur verte teintée de rouge, ce fruit parsemé de piquants contient à l'intérieur des centaines de petites graines et c'est là que réside le véritable trésor, le remède naturel de Jouvence.
    Cette huile est hydratante, anti-rides, cicatrisante, nourrissante, raffermissante. Elle est même reconnue pour être un remède efficace contre les cernes et les poches sous les yeux. Et savez-vous que 800 kg de graines sont nécessaires pour obtenir 1 litres d' huile ?

    Et les seins aiment cette huile divine du soin tenseur Buste FIGUI +. S'ajoutent des huiles végétales précieuses : l'huile d'argan pour lutter contre le vieillissement précoce et le relâchement de la peau, les huiles de sésame et d'amande douce apportent hydratation et souplesse. En un mois, le buste retrouve une jolie apparence. Bien sûr il est conseillé de ne pas laisser les rayons du soleil jouer avec sa poitrine. 


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  • Aimeriez-vous humer un peu l'air de Lyon ? Le Love serait-il in the air in LYon ? En tout cas, en ces temps maussades, Lyon a souhaité créer sa gourmandise olfactive : LOVELY !
    Un parfum d'ambiance frais, un brin fruité, un cocktail de vitamines : bergamote, orange et pamplemousse. Mais Lyon a voulu semer quelques graines de passion et, a épicé sa note de coeur en ajoutant des notes amandées et anisées, avec un soupçon poudré. La passion, oui, avec une touche de douceur !
    Comme Lyon aime les gourmands et gourmandes, alors le miel blanc et le sucre vanillé apposent leur notion du plaisir.  LYon se plaît à mettre sa griffe en insufflant un air malicieux et sensuel, sous forme de bougie parfumée et de spray d'ambiance. Alors, in Love with the air...de LYon ? 



     


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  • Bientôt les vacances? Et si on se penchait sur le sujet...Après un éloge du superficiel (cf article sur Maryline la_philo_en_beauté), la thématique du voyage est l'occasion de peaufiner encore le grain philosophique de notre rubrique "La philo en beauté", à savoir la critique de la fascination pour l'authentique, authenticité d'un être ou authenticité d'un lieu. De l'anatomie à la géographie, nulle frontière alors....

    Parmi les quelques notions qui tapissent notre imaginaire idéologique (superficialité, égalité, tolérance, progrès, naturalité, etc.), l’une d’entre elles me semble mériter la médaille du flou conceptuel : « authenticité ». Si je « google » le terme, voilà ce que j’y trouve : un joyeux fourre-tout soixante-huitard mêlant errance rebelle aux accents mystiques, utopie cénobitique marquée par un repli communautaire et périple aventureux à la Indiana Jones... Moi qui croyais que le terme appartenait initialement au monde de la critique d’art, désignant une œuvre dont l’origine, l’auteur et la réalité sont certifiés, qualifiant autrement dit une œuvre conforme à sa définition, serais-je donc loin du compte ? Pas si sûr… De même qu’une Joconde n’est authentique que pour autant qu’elle répond aux exigences définies par le critique d’art, à savoir que le tableau a effectivement été authentifié comme celui peint par Leonard de Vinci entre 1503 et 1506, de même une Chine authentique semble devoir se justifier de quelques sommations exprimées avec fort ethnocentrisme par l’héroïque routard, apparemment détenteur ultime de la définition de ce qui est « chinois » : quelques minorités ethniques Hui aux costumes bariolés, entretenant pastoralement l’héritage bouddhique, au côté de chèvres aussi sages que des petits Confucius, sur un arrière plan de rizière bucoliquement cultivées dans une province plus reculée que le Yunnan, à l’abri des affres de la traîtresse Shanghai occidentalisée, capitalisée, financiarisée.

    Si le fonctionnement du concept d’authenticité pose peu problème en art – même s’il pourrait être sain de se demander dans quelle mesure l’exigence d’authenticité d’une œuvre ne relève pas en fait d’une exigence purement commerciale, le gage de l’exclusivité, dans une compétition à la consommation où la reproductibilité technique ruine la valeur financière de l’objet bien avant d’anéantir l’aura que lui prête le nostalgique Walter Benjamin  – sa migration vers le monde du voyage constitue peut-être le comble d’une arrogance bobo à la stratégie bien ficelée. Car parler d’une Chine authentique, qui, vous l’aurez compris, n’est pas celle que bombarde niaisement le penaud appareil photo Codec du moutonnier touriste, ce n’est au fond pas autre chose que d’imposer une norme, privant tout à la fois le touriste, le scientifique mais surtout le chinois de toute prétention à définir le sens de cette chose si alambiquée, si chimérique et si tortueuse qu’est la Chine. Voilà donc que le routard, se targuant pourtant de respecter la délicate fleur chinoise que piétinent les touristes aux audio-guides polyglottes, va donner aux chinois une paternaliste leçon d’identité… C’est trop aimable à lui ! Si tout ceci vous rappelle, comme le relent d’une huître mal digérée, de poussiéreuses histoires d’héroïques colonisateurs apportant les Lumières aux immatures pays émergents, je n’y suis que pour très peu…

    Mais cessons les sarcasmes et tentons de comprendre. Autrefois privilège d’une poignée d’aristocrate, à qui revenait la distinction d’être les seuls à pouvoir montrer, qualifier et définir le monde, le voyage, ce coquin, est devenu accessible à tous – il paraît même que l’on appelle ca « démocratisation » ! -, signant par la même occasion la banalisation du voyageur, touriste parmi les touristes. « Ici, plus que son privilège, c’est l’espace nécessaire à l’expression de sa différence que le voyageur voit se réduire » conclue le génial Didier Urbain dans L’Idiot du voyage. Mais on n’aime pas partager un objet, tout comme on n’aime pas partager un espace, dans une logique d’appropriation qui frise celle de la propriété, en quoi le routard aux airs hippies a tout l’air d’un consommateur alternatif, mais un consommateur encore, plus fidèle que jamais à la logique de la consommation capitaliste. Que fait donc l’intrépide voyageur, ce soi-disant anti-touriste? Easy ! Armé de ce petit mot, « authenticité », faisant fi de l’importance du pluralisme, de la multiplication des regards sur le monde, de l’absence de norme perceptive, il mène un coup d’Etat, celui qui consiste à dire qu’il est le seul à voir profond, juste et vrai dans les espaces qu’il arpente: il est l’heureux propriétaire, sinon le monde, en tout cas de la définition de la Chine. Le cachotier ! Si la quête d’une réalité alternative à nos modes de vie urbains occidentalisés n’a évidemment en tant que telle rien de vil, d’absurde ou de pathétique, son façonnage dans le moule du concept d’ « authenticité », petite dictature pour adolescents, mérite donc bien quelques sains soupçons. Alors, quelle news philo aujourd’hui ? Le routard, ce colonisateur des temps modernes…

    Réflexions de "routarde", Clémence Chastan, illustrations : Marine Chastan


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