• un délice pour la peau, sous le soleil, à la sortie de l'eau, c'est l'huile Monoï Tiki Tahiti à la vanille. Fabriquée à base d'huile de coco dans laquelle ont macéré des fleurs de tiaré, cette huile est un véritable soin de la peau, le monoï étant reconnu pour ses vertus nourrissantes. Les Polynésiens se massent régulièrement avec et l'appliquent également sur leurs cheveux. Bien sûr, selon que le cheveu est fin ou épais, le traitement est différent. Les cheveux fins profiteront d'un masque suivi d'un rinçage, et les cheveux épais et secs, bénéficieront chaque jour en application, des bienfaits de cette fabuleuse huile.

    Appliquée avant ou après un bain de soleil mais aussi tout au long de l'année, cette huile fait des merveilles sur la peau,puisqu'en soie... elle la transformera. Mon bien-être quotidien sous ses jours de pluie ? L'huile monoï Tiki de Tahiti à la vanille : délicate, cette huile sait charmer les narines et se révèle être une délectable friandise pour mon corps. 

    Une tentation au quotidien, le fameux petit rien qui fait beaucoup de bien ! (photo Tiki)


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  • "Barbie m'a fait aujourd'hui un cours sur la théorie du Gender", Clémence Chastan.

    « C’est la faute à Barbie » m’ont dit les sociologues ! Et pour cause, la "blondasse" anorexique à la transcendantale paire de seins incarnerait, artificieuse et facétieuse, une féminité réduite à l’état de joujou pour Monsieur. Ne manquait plus que l’invention de sa version gonflable pour que soit révélé, avec force subtilité il faut dire, son statut de « sex toy » en puissance. Alors le bal des critiques est ouvert : « perchée sur ses talons hauts qui devraient lui interdire certaines activités quotidiennes, Barbie s'affiche conforme à l'image américaine d'une féminité oisive, investie d'une mission sociale: valoriser l'homme qui s'est fait une place dans la société » lance Marie-Françoise Hanquez.  En clair, Barbie imposerait aux femmes un rôle – oh le méchant mot ! -, que dis-je, un stéréotype – oh le très méchant mot ! -, et même, une norme –oh le *** méchant mot ! -, consacrant, dans le cadre d’une différenciation sexuelle née du sein des seins d’un autoritarisme patriarcal sans soutien-gorge, une féminité rigide, à la sexualité non frigide, spécialisée dans l’art du frigidaire. Bigre, j’en ai la chaire de poule…

                    Mais, - il y a toujours un « mais » -, si la diversité des théories du genre trouve à s’unifier autour d’une thèse commune, celle selon laquelle l’expression de la différence sexuelle, irréductible à un ancrage biologique plus ou moins discuté, participe d’une solidification des rôles sociaux cantonnant la femme à une position périphérique et inférieure dans l’espace social, il est en fait assez douteux que Barbie puisse faire office de bouc-émissaire efficace.. La jolie poupée, passant maintenant toute la journée à faire « non, non, non » grâce à ce superbe gain en flexibilité que permit l’optimisation des articulations, impose de moins en moins. C’est presque même tout le contraire : occidentale, puis africaine, enfin asiatique, blonde, ou brune, ou bien rousse, vétérinaire, soldat puis journaliste, "la marionnette" s’accessoirise hyperboliquement, donnant l’occasion à n’importe quelle fillette d’en faire usage comme d’une page blanche, bref, l’urgence de s’inventer. Bon, inutile d’en faire trop, car l’on voit bien que cette évolution du joujou ne va pas de l’imposition tyrannique d’une norme féminine à l’exhortation à s’inventer soi-même en toute liberté, mais plutôt qu’elle incarne le succès du libéralisme à l’échelle de l’individu. Enfin, il n’empêche que si Barbie est une prison pour femmes, alors il faut bien avouer que cette prison est aussi sécurisée qu’un moulin…

                    En revanche, si l’on jette un œil à des théories du genre un peu plus originales, alors, là, Barbie a quelques vraies leçons de « gender studies » à nous enseigner. Car, vous m’excuserez, je suis directe, Barbie n’a pas de vagin. Que faire de ce constat un peu cru ? D’abord, si l’on en croit l’analyse freudienne selon laquelle le développement de la sexualité des fillettes se fait normativement au profit de la norme hétérosexuelle, à savoir que le vagin répond naturellement au pénis comme le confortable capuchon à son désiré stylo, l’absence de cet espace d’accueil pour phallus chez Barbie en ferait une véritable héroïne lesbienne anti-freudienne, le symbole d’une sexualité clitoridienne rugissant fièrement. Ensuite, la possibilité même de penser un symbole féminin sans vagin participe de la remise en question de la survalorisation de l’organe sexuelle pour déterminer l’identité d’une personne. Pourquoi, finalement, la spécificité de l’organe reproductif prime-t-il sur la forme de l’oreille, la couleur des yeux ou la taille de l’orifice nasal pour déterminer une identité ?! Tout finalement n’est qu’excroissance, chair, organe jusqu’à ce que nous investissions symboliquement certaines parties.

                    Enfin, plus passionnant des trois, l’absence de cavité vaginale, la surreprésentation des atours féminins érotiques comme la poitrine, le forcé du maquillage tendrait à voir dans Barbie une femme presque trop féminine, parodiquement féminine. Lorsqu’on sait qu’une certaine Judith Butler a écrit un fameux texte titré Trouble du genre, dans lequel elle montre comment les rôles sexués sont en réalité aussi flexibles, souples et troubles que des rôles carnavalesques, alors rien n’empêche de voir dans Barbie rien moins qu’une Drag Queen. Ce qu’une théorie du genre ambitionne dès lors, ce n’est point supprimer l’altérité sexuelle au profit d’une biologie poly-sexuelle, mais dégager, au sein de la compréhension de la différence masculin/féminin telle qu’elle existe aujourd’hui, des failles, des fissures, des troubles qui témoigneraient de ce que, déjà, la frontière est poreuse. Impossible en effet de savoir, réellement, si Barbie est un homme ou une femme, tant et si vrai que, loin d’imposer quelques repères bien stables, la poupée, au final, nous dérange. Alors, quelle news philo aujourd’hui ? Barbie m’a aujourd’hui fait cours sur la théorie du Gender.

    Illustrations : Marine Chastan. Texte : Clémence Chastan. 


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  • Un soin en eau, vous connaissez ? C'est le nouveau geste délicat, un brin pétillant, assurément rafraîchissant, divinement parfumant, agréablement vitalisant, judicieusement nourrissant de chez Academie.

    Une eau en soin version Academie, c'est un soin et un parfum de peau avec des composants reconnus pour leurs grandes vertus !
    D'abord, des acides aminés comme la lysine, l'acide glutamique et la glycine, les "boosters" d'énergie des cellules indispensables à leur croissance.
    Puis, le zinc, le magnésium, le potassium, le sodium, le glucose, toutes ces "petites choses" dont notre corps a besoin pour le renouvellement cellulaire. 
    Enfin, le parfum avec en note de tête une bergamote, du muguet, du jasmin, en coeur, la vanille taquine ce délicat cocktail d'un soupçon de sensualité, les notes de fond orchestrent savamment musc et santal.

    Juste pour se faire du bien, les filles, tentez ce soin en eau, à vaporiser un peu, beaucoup, presque passionnément sur tout le corps !


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  • Un pont du mois de mai en Chantilly ? Cela vous dit ?

    Des massages tous tendres, tous doux pour le visage, des frangrances toutes fruitées pour effleurer subtilement les narines, et des cranberries pour prendre soin de la peau. Serait-ce trop beau ?

    Ensuite, des raisins et lotus d'Orient pour gommer le corps, d'accord ? 

    Enfin, la sublime, l'élégante, la savoureuse, la délicieuse, la crème Chantilly sur tout le corps, encore ?

    Illusion ou allusion gourmande ?

    Un clin d'oeil au merveilleux spa de 650 m2 de l'auberge du Jeu de Paume à Chantilly et à ses soins "Signatures".

    Pour un rendez-vous gourmand, galant, élégant...


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  • Le soleil veut jouer à cache-cache ? Pas de problème, Bourjois joue avec le soleil et lance ses collections South Beach Souvenirs et Summer on the Riviera. Alors Pulcherry, tu l'ouvres la valise Bourjois ?
    Oui, mais... Lunettes ! Car les couleurs sont flashy !


    Du Navy bleu outremer pour passer en mode abordage, du Turquoise Block pour plonger dans les abysses, du flashy Rouge Popy pour déclencher des ravages. Pour griffer en mode bijoux, Bourjois propose des toppings ongles en 3D : des perles fines colorées. Un plongeon dans les coraux avec Coral Bikini rouge ? Ou dans les lagons avec Maliblu ?

    Bourjois n'a pas oublié les sourires acidulés mais les module en 3D avec ses nouvelles teintes de gloss : brillance, volume. hydratation, brillance assurés et... baisers de sirène garantis !

    Une teinte pain d'épice sous la pluie et tout de suite ?! Je sors ma collection Summer on the Riviera : une BB cream magique ! Une texture chocolat, fondante, non grasse, qui s'adapte à toutes les carnations et en plus avec SPF 15. On croirait presque que je reviens d'une journée en voilier. 

    Mais, la baguette magique de Bourjois c'est le Bronzing Primer : une base lissante et matifiante qui donne un effet hâlé naturellement. Après l'application de la crème de jour et sous la poudre soleil, pour celles qui l'utilisent, cette base se révèle étonnante. En plus, sur la zone T, elle garantit un résultat impeccable pour la journée. Et le teint ? A croquer !

    Envelopper votre corps de mousse au chocolat, tentez ? Bourjois vous y invite avec sa mousse teintée sans auto-bronzant. Pas d'effet trace, un joli hâle vous pare. Pratique parce que tout s'enlève sous la douche !

     

    Alors on embarque avec Bourjois maintenant ?


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