•  Un service de table unique pour les Fashion Victims, conçu par Yael Kristal, designer israéliene.

    Une miss Mug à talon aiguille saura pleinement déverser dans votre gorge délicate, quelques gouttes d'un bon chocolat pimenté...

    Une tasse à café bagué vous ravira par son style chic et hors norme

    Un coquetier corseté vous permettra de déguster vos oeufs mollets, d'une façon glamour.

    Voilà qui donne envie de partager quelques instants de futilité en toute beauté !


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  •  Mon coup de cœur est pour un livre, celui d'Elsa Fayner, « Et pourtant, je me suis levée tôt ».

    Et oui, c'est sûr, certains ne font rien : ils dorment jusqu'à midi et attendent les allocs. Pourquoi travailler alors que l'on gagne plus au chômage ? Cependant, combien galèrent alors qu'ils se lèvent tôt et, par respect pour eux choisissent de travailler pour gagner.... pas grand chose ....
    Le monde du travail est sans pitié comme la vie sur Terre, parce que dans cet univers là, t'es rien !

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    Pourquoi avoir choisi d'écrire ce livre ?

    L'idée m'est venue début 2007, il y a un an exactement. La campagne débutait, j'entendais un consensus se faire pour “réahabiliter le travail”, et critiquer « l'assistanat ».
    Pour le candidat de l'UMP, il s'agissait plus précisément de réhabiliter “le mérite, l'effort, le goût du risque “, le système social actuel et ses acquis sociaux étant jugé décourageant, dissuasif, responsable de blocages.
    J'ai eu envie d'aller voir de plus près cette organisation sociale présentée comme « décourageante », en m'intéressant plus particulièrement aux salariés à bas salaires.
    Où travaillent-ils, comment, dans quelles conditions, avec quel parcours et quelles possibilités d'évolution. Pour voir si vraiment certains en profitent, et si c'est effectivement le “goût du risque” qui fait défaut à ceux qui ne décollent pas du Smic.
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    Vous vous êtes glissée dans la peau d'une « smicarde »...pourquoi ?

    L'idée n'était pas de me “mettre dans la peau” d'une travailleuse précaire, mais de pénétrer le monde de l'entreprise pour obtenir un poste d'observation privilégié, en caméra cachée en quelque sorte. J'aurais pu demander des autorisations, mais je craignais de ne pas les obtenir et, surtout, de ne pouvoir voir que ce que les entreprises voudraient bien me montrer.
    J'ai donc cherché un emploi au Smic, pour pouvoir commencer l'enquête.

    Vous avez évoqué des personnes ayant des études (Bac+4 et plus...) qui postulent pour des postes de caissières : comment l'expliquez-vous ?
    Et, pensez-vous que les diplômes ne « protègent » plus du chômage ?
    J'ai en effet d'abord déposé des candidatures spontanées dans les boutiques, les restaurants du centre de Lille, puis des galeries commerciales de la périphérie. En vain. La période était creuse, après Noël et les soldes. Pour un poste de caissière, en grande surface, on m'a par exemple prévenue que près de 150 CV étaient déposés tous les jours, et que la moyenne des qualifications des employés était de bac+3 ou 4. Je me suis alors penchée sur les petites annonces, dans la presse gratuite, et à l'ANPE. Là, bien souvent, il fallait déjà posséder de l'expérience dans le domaine –entretien, restauration, vente, etc- et avoir une formation spécifique (CAP force de vente, BEP technique, école hôtelière, etc). Même pour des contrats de quelques heures par semaine, des postes éloignés, nécessitant un véhicule, et en contrat court.
    Les personnes que j'ai croisées n'avaient pour certaines par le bac. D'autres disposaient d'un bac+2 ou 3, et finissaient par s'en sortir mieux, après quelques années de galère. Comme si le diplôme était devenu un condition nécessaire, mais pas suffisante, à une certaine réussite professionnelle.
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    Quelle est l'expérience de travail qui vous a le plus marqué ? L'entretien que vous avez le plus apprécié ?

    J'ai revisité mon CV, en enlevant l'expérience de journaliste, et en laissant ma licence de philosophie. J'ai également allongé et rapproché dans le temps mes expériences passées de vendeuse, serveuse, et télévendeuse. Mais, bien souvent, elles n'ont été d'aucune utilité. Quand j'ai entamé la tournée des agences d'intérim, on m'a rapidement orientée vers la télévente, parce que le secteur manquait de main d'oeuvre d'après les recruteurs, mais mon expérience était trop courte pour peser. J'ai donc été considérée comme débutante, ce qui m'a permis de recevoir une courte formation, avec dix intérimaires.
    Cela dit, cette formation a rapidement ressemblé à un lavage de cerveau, il a fallu réapprendre à parler, en bannissant certaines tournures, pour en privilégier d'autres, censées pousser le “prospect” à l'achat. Dans l'entreprise de télévente, un sous-traitant, la fatigue s'est donc avérée avant tout psychologique, les cadences infernales et la surveillance permanente. Certaines employées disaient même préférer “la fatigue physique”, qui leur laissait au moins un espace pour penser, une évasion possible. Mais, à l'hôtel, comme employée d'étage, j'ai rencontré des employés qui travaillaient près de 10h par jour, toujours debout, courbés, poussant des chariots, portant des charges lourdes, piétinant, trottinant, courant, et finissant par travailler en mode automatique, sur des horaires atypiques (soir, samedi, dimanche, voire de nuit), ce qui leur laissait souvent peu de temps pour la vie sociale.

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    Comment voyez-vous le monde du travail aujourd'hui ? Et d'après vous, quelle serait son évolution : se tourne-t-on vers plus de précarité ?

    Je pensais travailler et rencontrer des personnes travaillant au Smic mensuel, soit un peu plus de 1200 euros brut début 2007. En réalité, la plupart des travailleurs rencontrés comptent en heures, en Smic horaire, car ils sont en contrats courts (intérim, CDD, alternance), ou à temps partiel. Le Smic mensuel, à temps plein, en CDI, reste l'objectif à atteindre.
    Les personnes croisées qui y sont parvenues, comme à l'hôtel par exemple, acceptent alors tout, pour le conserver. Des conditions de travail pénibles (porter des charges lourdes, rester debout longtemps, se courber, répéter les mêmes gestes, le tout à des cadences rapides, etc.), des entorses au droit du travail (heures supplémentaires non rémunérées, interdictions arbitraires, etc.), des emplois du temps atypiques, modifiés régulièrement et souvent individualisés: désormais, chacun a ses horaires propres, ses pauses seul, ses risques, ses objectifs, et, donc, sa responsabilité engagée en cas d'échec, quand les moyens de les atteindre ne sont pas fournis.
    Il est plus difficile de prendre du recul, chacun pense être le seul responsable de la situation; il est devenu plus difficile de comparer, et de se sentir partager des contraintes communes. D'autant plus que plus personne ne semble avoir donné l'ordre premier. C'est le client qui est invoqué pour le justifier. Le salarié, lui, reste au Smic. Parmi les personnes croisées, certains souhaitent en effet se reconvertir, ou acquérir plus de qualifications dans leur domaine, mais elles ne trouvent pas de formations adéquates, et surtout se demandent comment se former tout en conservant des revenus.
    J'en conclus qu'il est difficile de proposer, ou plutôt de demander, à certains travailleurs précaires de travailler plus. Les personnes que j'ai rencontrées qui travaillaient à temps plein, ont souvent des emplois du temps bien chargés, auxquels s'ajoutent des heures supplémentaires parfois non rémunérées, de longs trajets, voire des pauses interminables en pleine journée (dans le télémarketing, par exemple, nous devions attendre 2h30 en pleine journée, loin de tout, à l'heure à laquelle les “prospects” étaient censés sortir de chez eux). Matériellement, il est difficile d'en faire plus.
    Les personnes rencontrées qui travaillaient à temps partiel auraient en revanche souhaité travailler davantage. Seulement, bien souvent, leur emploi du temps est éclaté, et changeant d'une semaine sur l'autre, ce qui rend difficile le cumul avec un autre temps partiel.

    Par ailleurs, certains métiers existent aujourd'hui essentiellement à temps partiel, très concentrés sur quelques heures, en fonction des habitudes des clients, comme pour les agents de caisse ou pour les femmes de chambre, donc, même en multipliant les efforts, il n'est pas possible de passer à temps complet.
    De même pour les intérimaires, sur certaines missions qui fonctionnent par “campagnes”, pour vendre un produit. Quand la campagne est terminée, le travailleur est remercié, quel que soit l'effort fourni. Il existe donc des obstacles qui ne relèvent pas du type de contrat, mais peut-être plus de la formation, et des pratiques de certains secteurs.

    <o:p> </o:p>Y-a-t-il une différence entre le monde du travail à Paris et en Province, selon vous ?

    Paris étant la capitale du tourisme, des spectacles et des sièges sociaux, les emplois proposés n'y sont pas les mêmes qu'ailleurs. Mais il faudrait mener l'enquête sur place pour saisir plus précisément les différences.

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    Avez-vous une prochaine « étude » en cours ? Et laquelle ?
    Je travaille à nouveau en free-lance. Je propose des sujets aux rédactions auxquelles je collabore régulièrement. Ce sont des sujets en lien avec le monde du travail.

    Un grand merci à Elsa Fayner d'avoir répondu à mes questions. Et à tous ceux qui galèrent dans ce monde là....ne lâchez pas ! Ne craquez pas ! Continuez à avancer et jamais laisser tomber. Ne cédez pas à la facilité. N'optez pas pour être assisté. Car un jour, forcément...vous trouverez. Nourrissez-vous de la volonté.


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  •  Vous connaissez mes coups de coeur. Rien à voir avec le blog beauté ou plutôt si. Voici un joli moment que j'ai découvert à Lyon avec un diffuseur de presse : Jean Louis Marcel. Cet homme passsionné par son métier, organise une fois par trimestre une soirée de 20h à minuit qu'il intitule : "La Presse jusqu'à plus soif". Il invite ses clients du quartier à venir découvrir toute la presse : les nouveautés, les titres que nous n'avons pas l'habitude de lire...Une seule interdiction : le porte-monnaie. Nous n'avons pas le droit d'acheter au cours de cette soirée. Oui, Monsieur Marcel est ainsi et, encore plus : c'est autour de tables qu'il a arrangées que nous parcourons la presse avec une coupe et, des gourmandises. Nourrir le corps et l'esprit, en sourire. Monsieur Marcel a favorisé bien des contacts dans son quartier par sa générosité. J'ai appris par ailleurs, que sa maison de diffusion de la presse "Le Metro Foch" est en fait le premier diffuseur de presse en Rhône-Alpes et le 75ème sur le plan national. Ses employés m'ont dit que c'était un patron génial et, moi, je vous encourage à vous rendre en sa "maison".
    Je voulais lui rendre un hommage dans la rubrique "Mon coeur fait boum". Alors chapeau Monsieur Marcel pour favoriser des moments de partages, d'échanges et, pour encourager les relations humaines car la vie, au fond, est constituée de ces petits moments de grappes de bonheur....juste pour un simple échange avec le coeur.

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  •  Tout a commencé par une histoire de pépins. Non pas celle du polyphénol, des vertus du raisin, sa garantie de longévité...quoique...

    Non, l'histoire d'Adam et d'Eve qui nous fait cueillir quelques pépins aujourd'hui, l'histoire d'une femme qui a eu la côte avec le premier homme et qui finalement, lorsque ensemble ils goûtèrent au fruit défendu, ils écrivirent le plus grand arbre généalogique de toute l'humanité.


    Dans ma quête des nouveaux services proposés et liés à l'univers de la beauté et du beau (et l'Amour fait partie du beau) , j'ai croisé "Un homme et une femme",www.unhommeetunefemme.fr, entreprise dirigée par Goulven Deregnaucourt, dont j'ai trouvé le concept intéressant, ce qui explique que je l'ai inscrit à la rubique "mon coeur fait boum !"

    Ce concept est simple : mettre en relation les hommes célibataires avec les femmes célibataires...mais non pas comme Meetic ou un autre site.
    D'abord, vous avez un interlocuteur dont le "face à face " est le métier (Depuis plus de 20 ans), vous avez un entretien qui dure...le temps que cela dure. Ensuite, vous bénéficiez d'ateliers : atelier de connaissance de soi, atelier d'approche de l'autre, atelier de relooking (où la gamme de services est énorme !!) et bien entendu mise en relation avec l'Autre..la fameuse moitié !

     Pourquoi un "atelier connaissance de soi" ?

    Parce que lorsqu'une personne s'inscrit chez nous, même si elle souhaite rencontrer sa moitié, au fond, est-elle vraiment prête à rencontrer cette personne ? Imaginez, un homme qui a vécu une rupture mais qui dans sa tête n'a pas fait le deuil de sa relation...je peux lui présenter son idéal...il rencontrera de la difficulté à se lancer dans cette nouvelle relation.

    Nous travaillons donc avec un coach qui va mettre au clair la situation de la personne : qui je suis, ce que j'ai vécu, ce que je ne veux pas revivre, mes projets de vie... L'objectif est de définir un présent, un futur. Ces ateliers sont mixtes et il y a environ 6 à 10 personnes.
    Suite à cet atelier, nous établissons avec notre adhérent un "cahier des charges" concernant la personne qu'il souhaiterait rencontrer.

    Car, je dois vous avouer, que des personnes arrivent avec des exigences très spécifiques, elles se mettent d'ailleurs plein de barrières...et au final, après cet atelier...ces personnes apprennent à mieux se positionner et changent très souvent leur description de cet autre qu'elles souhaiteraient rencontrer.

    Nous proposons également, l'atelier d'approche de l'autre : comment je rentre en contact avec cet autre que je ne connais pas...et là aussi, c'est extrêmement révélateur.

    Pourquoi proposez-vous des ateliers relooking ?
    C'est partie d'une histoire simple : les hommes aiment être accompagnés par des femmes qui s'habillent correctement et avec qui je cite "ils n'ont pas la honte" . Attention, je ne dis pas que la femme est un objet qu'on exhibe...d'autant que j'ajouterai que les hommes recherchent des femmes intelligentes, indépendantes, douces, ...on me dit "qu'il y ait de la conversation entre nous, de l'échange" donc la femme n'a pas le rôle de plante verte (et j'ajoute moi encore heureux sinon, j'aurais interviewé mon fleuriste) mais, les hommes aiment être avec des femmes qui ont une belle présentation. (Bon, j'avoue je les comprends, je n'aime pas être avec un homme qui se néglige, est habillé n'importe comment, ne prend pas soin de lui (il ne prendra pas soin de moi) et un truc que je trouve laid : ce sont les hommes avec un sac à dos en tissu en ville...Je ferme la parenthèse)

    En quoi consistent ces ateliers relooking ?

    Ces ateliers, non mixtes, donnent les conseils sur la posture, les couleurs, le maquillage, la coiffure, mais nous accompagnons les personnes en boutique (et surtout nous tenons compte de leur budget). Nous demandons aussi aux personnes de venir avec 4 de leur tenues fétiches, et nous allons aussi travailler les différentes associations possibles avec leurs 4 tenues. Notre but étant non pas de leur faire dépenser de l'argent, mais de les accompagner au mieux.

    Vous proposez aussi des cours de cuisine, d'oenologie, des sorties...

    Oui, notre but, c'est que la personne se sente bien dans la rencontre à l'Autre. Se rencontrer autour d'un verre c'est bien, mais lorsque vous avez été mis en relation par quelqu'un, je ne vous raconte même pas la difficulté de parler..et parler de quoi...Or, imaginez, vous allez à un cours de cuisine, vous entrez en relation avec l'autre d'une façon différente. (déjà, il y a plusieurs personnes) En plus, la cuisine c'est vraiment, le symbole de la générosité : donc vous apprenez à découvrir l'autre sous un oeil différent. Parallèlement, à ceci, moi j'ai des hommes qui m'ont dit : vos cours c'est super, car depuis que j'étais divorcé et vivais seul, je m'étais abonné à mon micro onde. Là, de nouveau je prends plaisir à inviter des amis...je reçois...et voilà, la personne reprend le goût de s'ouvrir et d'offrir...Et c'est ainsi pour plein de choses !

    Et au niveau des tarifs ?
    Nous avons choisi de nous adapter à toutes les bourses. Donc, nous avons une multitude de contrats.

    Et pourquoi avoir choisi un tel concept ?
    Oh, vous savez ma femme et moi, nous avons eu des postes de très haut niveau dans de grosses sociétés (HP, Alcatel..) et nous avons beaucoup voyagé..avec tout ce que cela comporte. Très peu de temps pour nous, beaucoup de pressions, de stress, mais nous avons bâti notre couple, notre vie. Et c'est cette notion de construction que nous voulions véhiculer. L'Amour ce n'est pas une histoire de : je m'inscris chez "un homme et une femme" et dans 3 mois, je vais me marier. Non, apprendre à se construire, à construire sa relation à l'autre, et surtout, ne pas regarder son chronomètre...C'est ce que nous avons choisi d'apporter au travers de ce concept. Et puis, nous sommes à l'écoute de nos adhérents.

    Voilà, j'ai trouvé ce concept contemporain et c'est pour cette raison que j'ai choisi d'en parler. A priori, vous pouvez trouver un ptit coin "d'un homme et d'une femme" un peu partout en France. (www.unhommeetunefemme.fr)

    Alors à vous qui me lisez et qui aimeriez rencontrer ce fameux Autre, et vivre quelque chose de beau, moi, je vous écris : aimez l'Amour c'est formidable, parce que l'Amour est ce sentiment qui fait que quoiqu'il vous arrive dans la vie, il sera toujours, fidèle compagnon, partageant vos peines, vos joies et, lorsque votre visage le regardera, quoiqu'il se passe alentour, l' Amour vous sourira et vous, vous brillerez de mille éclats.
    (comme quoi, les révélateurs d'éclats n'ont plus qu'à aller se rhabiller...hum..)

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  •                                     
    Le corps entre en mouvement, le pied pointe, les bras deviennent ailes, le corps se courbe, s'arc-boute, le corps se tend et s'élance, le corps devient Elan, souffle de Vie, hymne à la création.
    Le sacre du printemps a projetté votre sacre de la Vie, parce que "danser c'est Etre" et, vous avez voulu transmettre ce feu qui vous anime.

    Et moi, je me souviens de notre rencontre, parce que vous aviez aimé ce que je vous avais écrit, vous m'aviez ouvert les portes de votre école. Assise à côté de vous, j'assistais aux répétitions telle Alice aux pays des merveilles !

    Non, je n'ai pas oublié la leçon de la danse : fixer un point à l'horizon pour éviter de tomber lorsque nous tournons. Fixer ce point à l'horizon pour ne pas sombrer dans la vie et ses tourbillons, dans la vie et ses affres, dans la vie avec ses abysses qui jailllissent.

    Non, Monsieur Béjart, je n'ai pas oublié notre rencontre où je vous ai dit la danse est un dialogue avec l'univers, car la danse est mouvement.

    Ce soir, d'un pas de deux vertigineux, vous avez bondi dans l'univers "terre" de l'Eternel.

    Alors, Monsieur Béjart, comme la Danse est aussi le Beau, j'ai voulu vous dédier un billet pour vous dire merci, merci pour ce que vous m'avez appris et, à vous qui me lisez en cet instant...et bien....Dansons à Présent !
     


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