• Des lunettes « techniques » à branches réglables mikli.fr, des lunettes "bioniques" de Philippe Starck (avec lequel vous collaborez) des lunettes de joaillerie version Delphina Delettrez.
    Alain Mikli : une union parfaite de technique, technologie, design mais aussi une touche de « couture » pour plus d’allure ?
    Je suis un homme caméléon, j’aime m’entourer de personnes sincères, riches au niveau de leur cœur, pas forcément reconnues. Des vraies personnes, des personnes qui défendent leurs idées. J'ai arrêté de travailler avec de nombreuses personnes qui manquaient de vérité. Ces personnes s’intéressaient à leur reconnaissance dans les médias. Je n'aime pas les gens qui ne cherchent pas à connaître les autres. Par exemple, les créateurs, ils font leur collection en taille 36, 38. Pensez-vous que toutes les femmes rentrent et se sentent bien dans ces tailles.  Moi,  je ne veux plus évoluer avec le monde de la mode.

    Quelles sont les lunettes parfaites selon vous ? Qu’est-ce-que vous aimeriez créer et qui n’existe pas ?
    Rien de parfait, l’imperfection c’est le charme ! Parfait ? "Ya" plus rien ! Cela n’a pas de sens. Une lunette, elle est parfaite à un moment donné car faite pour une personne à un moment donné. Et puis 6 mois,  un autre jour et c’est autre chose. Dans toutes mes lunettes, il existe toujours  une petite maladresse car justement je ne veux pas que mes lunettes soient parfaites, c’est pourquoi je travaille avec des artisans car le travail de la main, c’est l’imperfection, l’imprécision. Ce n'est pas le robot qui reproduit le geste qui va reproduire des choses rigoureusement identiques à l'infini. Je garde ce coté artisanal dans ma fabrication que j'associe à la perfection technique et mécanique pour donner du confort, de la légèreté pour permettre de porter la lunette.

    En 1990, vous faisiez une insertion publicitaire dans un livre de Corinne Lellouche « Ma vie est une œuvre d’art » (la page : 5000 francs). Un soutien à l’écriture ? Un soutien à une artiste ? Un soutien à la création et à l’art parce que sans création, il n’y a pas de Vie ?
    Elle avait un problème budgétaire, j’ai dit "banco". La démarche était simple et naturelle. Cela permet à certains artistes d’exister.

    Des people qui portent vos lunettes ou Alain Mikli qui porte des people : un mariage intéressant parce que stratégiquement utile ? Un mariage heureux parce que vous avez un savoir faire unique que tous s’arrachent ? Ou un mariage fun parce que vous aimez le glamour et l’humour  ?
    J’aime l’humour ! Pour être star, il faut porter du Mikli et ....tous les people ont acheté leurs lunettes. Moi, je refuse de payer les stars, une célébrité …J'ai cette chance, toutes les célébrités le font par plaisir ! Prenez Samuel Jackson, il est adorable, il m’envoie des photos de sa famille, des vidéos. Pour certaines personnes un rapport amical est né. Mais attention, je ne connais pas toutes les stars.

    Depuis 2006, vous parrainez l’association Mira Europe (dont le projet est de construire la première école en Europe de dressage de chiens pour les enfants.) Au sein de votre société, dès 2005, vous avez embauché des salariés atteints de troubles de la vue. Certains travaillent à l’accueil ou au suivi des commandes. Aujourd’hui, avez-vous de nouveaux projets concernant les malvoyants ou non voyants ?
    Oui, je suis très impliqué pour les non voyants. J'ai passé plus de 20 ans de ma vie à espionner, voler des images et, depuis 10 ans je m’évertue de le restituer pour les non voyants. Tout ce que j'ai pris avec les yeux, je tente de le restituer.  
    Je m’investis pour leur redonner. Cela commence avec Yann Arthus Bertrand. On en a fait des images tactiles au Musée de Beaubourg  : des tableaux d’œuvres contemporaines. On a fait des reproductions pour que les non voyants puissent les voir ; donc voir un Soulages, un Picasso. L'idée est d’avoir des sensations, des sentiments.  En revanche, quand il y a trop d'exploitations marketing, je ne cautionne pas. Je communique peu sur cela, je préfère agir. 
    Pour Mira Europe, c’est une aide pour les adolescents. C'est un centre de dressage de chiens pour les enfants pour s’intégrer dans notre société. Le chien est un être idéal pour s’intégrer.  L'éduquer est très difficile car parfois les enfants peuvent se montrer méchants et le chien ne doit pas montrer les crocs. Mira Europe, c'est l'unique école en Europe. Il en existe une autre au Canada, c’est un monsieur fabuleux qui a mis au point ce dressage de chien. Il faut savoir qu' un chien coûte plus de 25 000 euros donc, est difficile d'accès pour les familles. Je m'implique assez. Aujourd'hui, nous vivons dans une telle société égoïste. 

    Envisagez-vous de faire comme Volvo pour sa berline S60 de travailler avec un artiste aveugle (Esref Armagan) ?
    Pourquoi pas ?  Je n'y ai pas pensé.

    A part les lunettes, avez-vous d’autres passions ?
    Les voitures !

    Sur quel projet êtes-vous en train de travailler actuellement ? Et votre avenir, comment le voyez-vous ?
    Je travaille sur le projet de futures collections Vuarnet. Refaire vivre une marque de 50 ans, cela commence par l’apprentissage d’une collection. Elle avait un cachet. Les Vuarnet ont perdu leur cachet d’antan. Est-ce que je vais être capable de rentrer dans une histoire qui ne m’appartient pas ? C’est intéressant, c’est un défi. C'est nouveau, c'est une aventure et c’est prenant.

    Un conseil pour les internautes de blog beauté 12, concernant le choix des lunettes ?
    Le choix des lunettes c’est quelque chose de simple ! C’est comme choisir une paire de chaussettes. Pas de règle, pas de compétence technique à avoir. Il faut se sentir bien avec la lunette qu’on porte.  Si on a honte d’afficher sa lunette et bien, on ne peut choisir aucune lunette... ou encore, aller voir son chirurgien pour se faire opérer. Si on ose ou encore, on veut se cacher derrière sa paire de lunettes, on joue avec un caractère.  C'est quelque chose de spontané. Il faut les porter avec plaisir. Et là, n'importe quelles paires de lunettes sont faites pour soi.

    Vraiment un grand merci à Alain Mikli (personnage charismatique, étonnant, détonnant mais non encore explosif :) d'avoir pris le temps de répondre à toutes mes questions (je fus très interrogative, bavarde...)

    Merci à Regards Croisés (boutique sans problème de convergence :). Boutique indépendante dédiée aux collections de lunettes et à leurs créateurs.
    L'adresse : 50 rue Président Edouard Herriot, Lyon 2ème. (A priori, la boutique ne semble pas avoir de site internet, désolée). Son téléphone : 04 72 31 61 61. Si vous souhaitez porter des montures uniques (oui, que vous ne trouverez nulle part ailleurs) appartenant à la collection Mikli, c'est ici que vous les trouverez. Je me permets d'ailleurs de remercier l'équipe pour son accueil et surtout ....de m'avoir permis d'essayer toutes les lunettes de stars...Sur moi, l'effet n'est pas digne de Gala...ce qui explique que je ne serai pas dans les prochaines parutions de ce magazine :)

    Merci aux internautes de blogbeaute12.com d'avoir pris le temps de lire mes billets, je sais, c'est un peu long...Mais un créateur comme Mikli, cela "vaut le coup" de passer un peu de temps à le lire. Enfin, c'est ce que je pense.

    Pour deshabiller encore un peu Alain Mikli, c'est par ici :) alain mikli

    (Photo prise sur le site Alain Mikli)


    votre commentaire
  • Les lunettes, votre passion d'enfance un rêve qui devient réalité. Alain Mikli, un groupe aujourd’hui qui emploie 350 salariés et qui a dernièrement racheté à hauteur de 75 % Vuarnet.
    Alain Mikli, pourquoi cette passion pour les lunettes ?
    Est-ce parce que le regard peut déclencher un coup de foudre ? Parce que la matière plastique, à l’époque vous fascinait ? Ou est-ce pour mieux voir le monde et être vu par lui ?

    Les lunettes m’ont choisi car j’ai choisi de faire des études d’opticien et les lunettes m’ont adopté... et je suis tombé amoureux de ce métier. Au fond,  c’est un coup de foudre :) De l'amour, de la complicité, du masochisme oui, c'est cela. Pour être toujours, 30 ans après impliqué dans ce métier, avec une telle rage, je n’arrive pas à en trouver les limites !!!
    La lunette, j’ai mis de nombreuses années à la comprendre. En effet, c’est l’objet qui s’adresse à l’être humain qui est le plus extra ordinaire , car c’est une prothèse occulaire qui d'ailleurs a lontemps été considérée comme ingrate et, qui a l’avantage par rapport aux autres prothèses, d'habiller le regard. Et le regard, c’est l’âme,  ce qui enferme tous nos secrets et que l’on dévoile très discrètement.
    Avoir cette chance de rentrer dans l’âme des gens, c’est fabuleux ! D'ailleurs, c'est aussi ce qui me permet de continuer ce métier et je ne vois pas les limites de l'âme. Ce n’est pas un phénomène de mode : c’est l’individu avec un grand "I" dans ce qu'il a d'unique. C’est travailler d’une façon personnelle et intime et non d’une manière collégiale.
    S’intéresser à l’âme, c’est respecter l’être humain, pour le séduire, le rendre plus beau, plus sexy, pour jouer avec ses contrastes, ses richesses enfouies.
    Oui, j'ai beaucoup de chance d’être tombé sur ce métier ; je ne laisserai pas ma place à quelqu'un d'autre ! J'espère simplement que j'aurais encore suffisamment d’années devant moi pour mettre à jour tout ce que je souhaite.

    Quelle est la matière que vous préférez travailler ?

    L’acétate de cellulose, car presque naturelle. Non naturelle à 100 % parce qu'on ajoute des pigments chimiques car les pigments naturels sont difficiles à trouver. Alors, oui, cela enlève donc à cette matière une certaine noblesse, mais elle demeure semi naturelle, car issue du coton et du bois. Elle est travaillée comme une pâte à papier. Elle a les mêmes propriétés qu’une chemise en coton qui vit, qui subit les intempéries. 
    La lunette peut changer de plusieurs millimètres de taille en fonction de la chaleur et de l’hydrométrie. Si on est soigneux avec elle, et bien, elle vieillira bien comme une bonne bouteille à la cave. C’est ce que j’aime dans cette matière  : elle vit avec le porteur de lunettes !
    Accepter les "rides" de la lunette, c'est le respect que l’on doit à cette vieille paire de lunettes, cette matière qui accompagne l’âme et l’évolution. Alors que le métal est une matière froide, immuable, et cela, ne colle pas, cela sonne le faux. C'est comme la femme qui a peur de vieillir et qui se fait injecter tant de produits, que son visage ne bouge plus. Il est immuable. Pour moi, cela c'est la mort. Je suis contre intervenir pour stopper le vieillissement, je suis pour préserver son capital, se soigner, se nourrir d'une façon équilibrée, s'entretenir. 
    "Voyez" l'acétate est une matière qui est en symbiose avec l'âme des gens, leur évolution et j'aime cette idée !

    Qu’est-ce qui vous inspire ?
    Tout m’inspire : la Vie, le quotidien. Je suis captif, je suis une éponge, j’observe, je dérange. C’est une déformation professionnelle. Je déforme, reforme, je réinterprète, restitue... 
    La création pour moi, ce n’est pas d’aller à une exposition. L'inspiration, c’est ce que je vis au quotidien, dans la nature…C’est une démarche naturelle. Je ne livre pas des inspirations de tendances ou encore je suis des courants. Non ! Je ne m’inscris pas dans les tendances modes, couleurs, formes. Je suis mon bonhomme de chemin, ou à l’opposé. Je suis moi, je livre l’interprétation de ma vision. Je pense que des personnes vont se reconnaître dans mes créations. La création c’est un partage, c’est offrir quelque chose d’intime et, non "marketé" avec des "codes business".

    Créateur de lunettes, envisagez-vous de créer d’autres types de produits et si oui, lesquels et pourquoi ?
    J’ai envie de créer plein de choses et mon temps, je le consacre à mes passions personnelles. Le temps m’est compté et je n'arrive plus à avoir la démarche d’entreprendre des nouveaux produits. J’adorerai faire une ligne de cosmétiques, par exemple. Aujourd’hui, je passe ma passion dans la voiture et je me limite à mon métier de lunettes. Je suis un chef d’entreprise lessivé par l’hypocrisie du système politique et économique et, j’ai été chercher dans la création, une liberté. Je suis obligé de rendre des comptes tout le temps : obligation de résultat, de bilan, ratio, niveau de stock. Je suis obligé de rendre des comptes à l’administration, au fisc et impossible de faire son travail correctement. Je fais encore une bonne partie de mes lunettes en France.  Je sélectionne des artisans, je leur apporte du travail et ils me permettent d’exister, de garder une patte non possible en Chine. Aujourd'hui, on est dans un monde infernal du manque de respect, on se détruit. Moi,  je ne peux pas cautionner cela, je me retire doucement, je maintiens, mais je ne vais pas au delà.

    Alain Mikli et le glamour, Alain Mikli et les people cherchez la star :)


    votre commentaire
  • . Lafont, 80 ans de "montures de lunettes" : qui dit mieux ?
    Pour la petite histoire...
    Quand on sait que tout a commencé par une histoire d'électricité...qui a donné son étincelle ?
    Et oui, parce que c'est au début du siècle dernier que le grand père , électricien, achète une affaire de prothèses auditives et de lunettes, à Paris.
    Le père, Jean, reprend l'entreprise en 1947, le fils, Philippe, le rejoint ensuite en 1975 après ses études de médecine. Puis, de nouveau une histoire d'étincelle : Philippe rencontre Laurence, designer. Grâce à elle, les lunettes deviennent accessoires de mode et les femmes sont séduites, la griffe Lafont voit le jour. En 1979, les lunettes Lafont sont vendues sur tout le territoire français et la société Optique Philippe Lafont naît. En 1996, Lafont devient le premier en France, à fabriquer une collection en titane.

    Dans la famille Lafont, je voudrais le fils...
    Depuis 1998, Thomas Lafont, l'un des 2 fils dans la famille Lafont, a repris les rennes de la création.
    Alors, Thomas, qu'est-ce-qui vous inspire ?
    Mes voyages. Mais quand je créé il faut aussi penser à la technique. Prenez cette paire de lunettes (il me désigne une monture qui ressemble pour moi, à de la dentelle) Regardez tout le travail : il y a de l'inox, découpé chimiquement, puis avec une sorte de pochoir on dessine ces motifs, puis ensuite on insère les strass. Bref, sur cette monture, vous avez 3 mois de travail.
    Là, je découvre le travail de précision nécessaire et les nombreuses étapes pour une "simple" paire de lunettes. D'ailleurs, elles exigent tant de précisions qu'elles sont produites dans le Jura (célèbre pour sa fabrication de lunettes et qui représenterait environ 9% de la production mondiale)
    Thomas reprend
    On fabrique des lunettes de façon à ce que tout type de verres puissent y être montés. Nos montures sont aussi bien pour les hommes et les femmes, que les enfants.
    En moyenne, je conçois 60 nouveautés par an et, nous vendons plus de 300 000 montures par année.

    Matthieu (Lafont), le deuxième fils, poursuit. Il manage la communication et le marketing.
    Nous n'avons pas d'impératif commercial qui dicte le style.
    Et comment choisit-on une paire de lunettes ? (Parce que moi je me souviens : lorsque je portais des lunettes, j'avais toujours mal sur le nez et derrière les oreilles).
    Telle est la question ! Souvent on nous dit, pour tel et tel visage, il est important d'opter pour telle monture. Mais en fait, il n'y a pas de règle. Il suffit d'écouter son visage. Si à la première impression, on commence à avoir des hésitations, ce n'est même pas la peine de continuer avec cette paire de lunettes.

    Lafont, c'est du sérieux ! Les opticiens sont aussi sélectionnés avec rigueur : pas de place à l'"à peu près".
    Et, pour ceux et celles qui veulent du sur-mesure, n'hésitez pas à poussez la porte du 11 rue Vignon dans le 8ème, à Paris. La célèbre boutique du grand-père ! Moi, j'opterai pour les écailles, je trouve que cela fait tellement chic !

    Les plus des montures Lafont : (hors sur mesure) les prix : abordables :), les collections très variées et moi j'ai aimé aussi leur édition limitée "Riviera" et puis la qualité, évidemment.

    Merci à Thomas et Matthieu Lafont de m'avoir accordé un peu de leur temps pour présenter leur marque, leur passion.
    Car pour tout vous dire, des lunettes Lafont, j'en ai porté durant toute ma jeunesse et je ne savais même pas comment elles étaient fabriquées.

    Alors, les montures Lafont vous feront-elles de l'oeil ?


    4 commentaires
  • Dareven : c'est le nom de cette marque.(dareven  )
    Cet été, j'ai eu l'occasion de découvrir leurs solaires exceptionnelles et uniques.

     

     

    Pourquoi uniques ?
    Parce qu'elles bénéficient d'une technologie unique au monde.
    - traitements hydrophobes oleophonic
    - traitements anti-reflets
    - traitement d'intensification des couleurs
    - traitement lumière bleue (90 % de filtration)
    - traitement infrarouge Irplus
    - verre teintés dans la masse.
    - film polarisé Evopolar
    - traitement anti-rayures avec verni durcisseur
    Inutile de vous expliquer que le développement du verre Dareven a pris plusieurs années, car jamais un verre solaire n'aura été si complexe à concevoir.

    Bref, moi, j'ai eu une vision exceptionnelle de mon environnement derrière ses verres, d'une netteté que je n'ai jamais connue précédemment, d'une grande précision. Les 15 couches du verre solaire Dareven permettent la filtration la plus parfaite des ondes nocives du spectre solaire (les UV) la lumière bleue, l'infrarouge, mais moi, ce qui m'a impressionnée c'est vraiment la définition visuelle.

    Pour l'instant, la collection présente 17 modèles dont 7 en métal et 10 en acétate déclinés en 3 coloris. Le style va du contemporrain classique au sport. Le prix : 219 euros. Sincèrement, je pensais que le prix serait plus élevé à cause de la technologie utilisée.

    Dès l'année prochaine, des lunettes de vue apparaîtront sur le marché. J'attends de voir si elles sont aussi époustouflantes que leurs soeurs solaires.

    Le fondateur : Lionel Bertrand
    D'origine grenobloise, Lionel Bertrand est propriétaire d'un magasin d'optique à Cassis et travaille depuis plus de 10 ans dans le monde de l'optique. Cependant, sa passion des produits techniques l'a conduit à la conception d'une collection de lunettes à haut pouvoir filtrant.

    Dareven est une petite marque qui ne demande qu'à grandir.
    Dareven, une vision unique de votre environnement et moi, je vous dis : testez  et vous verrez :)

     


    votre commentaire
  •  Plus de 100 000 essayages de lunettes de soleil en 4 mois ! "Enjoysunglasses.com" lunettes.enjoysunglassesor est content, son miroir fonctionne :)

    Oui, vous avez sûrement entendu parler de ce site de vente en ligne de lunettes de soleil.

    "Enjoysunglasses.com" , son credo : la protection et la mode. 
    C'est aussi une équipe de 5 jeunes passionnés de e-commerce, de mode et de lunetterie, qui décidèrent en mars dernier, de lancer un petit...grand "plus" sur leur site : un miroir....Histoire d'être encore plus belle avec ses lunettes :)

    Mais revenons au miroir
    Le fonctionnement est simple : vous branchez votre webcam et obtenez en quelques clics différents looks. Et puis, si une paire vous plaît, vous cliquez, payez et la recevez chez vous en moins de 4 jours. (Je ne l'ai pas vérifié). 

    Pour l'avenir, ils réservent plein de surprises et de nouveautés : d'abord, ils travaillent main dans la main avec des stylistes et cela, pour vous donner le maximum d'infos sur votre style, ensuite ils sont en train de mettre au point un système pour vous faire payer les lunettes encore moins cher. Surveillez leur site !

    Et "Enjoysunglasses.com", dis-moi, mais dis-moi franchement : est-ce que ton miroir me dira que je suis la plus belle ?

    Ah,  Messieurs, vous vous sentez un peu "oubliés" dans ce billet, pas du tout ! Le site est pour hommes et femmes.
    Attention, souriez, posez, jouez de votre regard et vous me direz si cela vous a plu !

     


    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique